vendredi 19 octobre 2012

Hugo Jaeger



Haunting smile of girl facing the Holocaust: How Hitler's PERSONAL photographer captured for history the plight of the Jews in Nazi-occupied Poland. Lire ici


mercredi 26 septembre 2012

Accidental Mystery











Unidentified Photographer, [Two unidentified girls, one eating watermelon, the other disrobing], ca. 1960.

The rich history of snapshot photography has yet to be written. But when that text is transcribed it will finally be possible to understand the complex role that snapshots once played in framing social identity and everyday life in the twentieth century, in every country, across several generations, in very ritualistic and historically specific ways. The consummate middle-class art form, snapshot photography allowed amateur photographers in those pre-Tumblr days to document and to some extent to invent their lives and accomplishments. Occasionally, however, by luck or misfortune, the pictures made by those avid backyard snapshooters exceeded the bounds of the routine occasion. Collectors John and Teenuh Foster of St. Louis, who recently donated to ICP the fantastic photograph above, seek out such photographic aberrations, which they refer to as “accidental mysteries.” The tiny picture is a small miracle of dramatic composition. One girl in a ca. 1960 Brownie uniform chomps down on a slice of watermelon while the other girl twists to escape from the dress she is wearing, exposing one bare shoulder. The joyous summertime relationship between the two adolescent girls and their surprisingly balletic poses create an image that reads like a vernacular Sally Mann. The photographer here is anonymous, however, reminding us that thrilling images such as this, though rare, could be made—or discovered—by almost anyone.
Via Fans in a Flashbulb

mardi 25 septembre 2012

Michael Crouser






















Girl and Tree. Voir d'autres photos de la série "Sin Tiempo" ici

vendredi 20 juillet 2012

Alfred Eisenstaedt






















Jospeh Goebbels au moment où il réalise que son photographe, Alfred Eisenstaedt, est juif, 1933. D'autres photos ici

vendredi 22 juin 2012

vendredi 13 avril 2012

Edward Weston



From 515 Madison Ave., New York City, 1941

In 1941, the great American photographer Edward Weston accepted a commission to illustrate Leaves of Grass, by the great American poet Walt Whitman. A show opening April 21 at Boston’s Museum of Fine Arts presents images from the project, all shot on a cross-country trip. Weston is known for tending more to the look of his photos than to their subjects. Under Whitman’s influence, however, content seems to come first.
Slide show.

mercredi 28 mars 2012

Chien-Chi Chang



“Photography is still instinctual, but I am more disciplined now. I am trying to make every frame count, just as in Tai Chi.”
D'autres photos ici

samedi 10 mars 2012

Witold Pilecki, un héros



Il est la seule personne connue internée de son propre gré dans le camp de concentration nazi d’Auschwitz. Il y organise la résistance et dès 1940 informe les Alliés des conditions de détention des prisonniers et des atrocités commises dans les camps de concentration allemands. En 1943, il s'échappe d'Auschwitz et prend part à l'insurrection de Varsovie l'année suivante. En 1948, Pilecki est exécuté par les communistes polonais. Lire la suite sur Wikipédia et des extraits de son rapport en français ici. Son rapport en anglais ici

jeudi 8 mars 2012

Doris Ulmann






















A little girl between seven and ten years old takes a step towards the viewer. Her splayed hands suggest she’s unsure of her footing, her feet positioned as if walking a plank or a tightrope. The dust covering her feet and hands—both rather large for a child her size—suggest an existence of manual labor. The cuffed sleeves on her white dress reveal that it’s too large for her small frame, its age betrayed by the stretched pocket and the many stains. It is a very simple dress, almost utilitarian, its only concession to vanity the vaguely floral shape of its collar.
Lire la suite sur Fans in a Flashbulb

mardi 6 mars 2012

Führerbau, Munich


 


Pendant toute la Seconde Guerre mondiale, HitIer et les forces nazies organisent le pillage systématique des œuvres d'art dans tous les pays de l'Europe occupée. Ils se saisissent des œuvres appartenant aux collections juives, mais n'hésitent pas non plus à s'emparer d'œuvres majeures, des trésors des musées nationaux. Les voIs sont si abondants que se pose très bientôt le problème du stockage.
Munich, capitale de la Bavière et berceau du national-socialisme, semble être le lieu idéal pour regrouper les objets dérobés. On les accumule d'abord dans les abris souterrains du Führerbau, la résidence officielle d'Hitler. Ils seront ensuite transportés ailleurs.
Construit par Paul Ludwig Troost, architecte du parti national-socialiste jusqu'à sa mort en 1934, le Führerbau est aujourd'hui une école de musique. Paul Ludwig Troost allait avoir comme successeur Albert Speer, qui a laissé son témoignage sur les relations entre Adolf Hitler et son prédécesseur :
« Les tracés de cette reconstruction virent le jour dans le modeste studio de l'architecte Troost, dans la petite maison au fond de la rue Theresien à Munich. Dans le même studio des plans furent faits pour un nouveau code de l'urbanisme, les plans de la Königsplatz à Munich, la maison des Arts allemands et beaucoup d'autres bâtiments du Führer. Les plans de ces importants bâtiments ne furent jamais vus par le Führer dans ses bureaux officiels. Pendant des années lors de ses moments perdus, il alla voir les plans des nouveaux projets directement dans l'agence de Troost. Mais le Führer ne s'est pas occupé par lui-même uniquement de la supervision des plans ; chaque détail, chaque nouveau matériau recevait son approbation et beaucoup furent améliorés grâce à des suggestions fructueuses. Ces heures de battement dans son emploi du temps devinrent, comme l'a souvent confessé Hitler, des heures de joie pure et un profond sentiment de bonheur pour lui. Elles lui firent du bien, et il donnèrent la force de mener à bien d'autres projets. Là il eut l'opportunité, durant les quelques heures de répit que la vie politique lui accorda, de se dédier à l'art de construire. [...]
En Paul Troost, artiste irremplaçable, le Führer trouva son architecte. Troost comprit comment utiliser les intentions d'Hitler et comment fournir la forme architecturale adéquate. Le Führer lors de son grand discours de la rencontre culturelle du parti du Reich en 1935, donna un éloge funèbre au Professor Troost qui ne pouvait constituer un plus bel hommage fait à un architecte de notre temps. Hitler dit : "Nous devrions être heureux et fiers que par une étrange fatalité l'Allemagne possédait le plus grand architecte depuis Schinkel, dans le nouveau Reich et pour le Parti. Il érigea ses premières et, malheureusement, seules immenses œuvres de pierre comme un monument dédié à la vraie pureté allemande et teutonique." »

jeudi 23 février 2012

Georg Elser, un homme contre la tyrannie



Lire ici l'histoire étonnante de la tentative d'assassinat d'Hitler menée par un seul homme en novembre 1939.

mercredi 8 février 2012

Lyonel Feininger



Untitled (Night View of Trees and Streetlamp, Burgkühnauer Allee, Dessau), 1928. Gelatin silver print, 6 15/16 x 9 5/16 in. Credit: gift of T. Lux Feininger, Houghton Library, Harvard University. © Artists Rights Society, New York / VG Bild-Kunst, Bonn.

Hitler declared his paintings degenerate. Of course, Lyonel Feininger was actually one of the 20th century’s most important American avant-garde artists: at various times a Cubist, Expressionist and Secessionist. He’s also well known as one of the Bauhaus’s original faculty, and was even a distinguished newspaper comic strip artist. But a photographer? Really?
Truth is, Feininger didn’t even pick up a camera until 1928, when he was in his late 50s and had fallen under the influence of his sons Andreas and T. Lux and, primarily, of fellow Bauhaus master László Moholy-Nagy. And he considered his photographing to be more of an experimental – and inspirational – means to a painterly end. But a recent exhibition has shed new light on this practically unknown aspect of his already formidable career.
La suite ici

mardi 31 janvier 2012